La Chine aurait espionné les États-Unis en utilisant des portes dérobées mises en place pour les écoutes téléphoniques et la surveillance numérique (légales), rapporte le Wall Street Journal : un épisode qui sonne comme un avertissement pour les opposants au projet européen de règlement CSAR, une loi européenne en discussion qui prévoit d’imposer aux messageries chiffrées de telles portes dérobées.
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